About La Gazette du Mauvais gout

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La mode a commencé a être documenté par la Gazette du Bon Ton, il y'a presque un siècle . Les temps ont changé et aujourd'hui on a envie de dire et "La Gazette Du Mauvais Gout"?Car comme disait Friedrich Nietzsche: "Le mauvais gout a son droit autant que le bon gout".Et il avait raison. Nous le revendiquons, le mauvais gout est plus que jamais le nouveau bon gout. Les fringues et les looks les plus ploucs deviennent toujours un jour ou l'autre les plus cool. Et c'est exactement de ça dont je vais vous parler."SMACK MY KITSCH UP!" Dora Moutot.

Fashion started to be documented by La Gazette Du Bon Ton (La Gazette of Good Taste), almost one century ago. Times changed and today, we feel like saying "and La Gazette du Mauvais gout"?(La Gazette of Bad taste). As Friedrich Nietzsche said " Bad taste has as much rights than Good taste". We're cleaming it, Bad taste is more than ever the new good taste. The most bumpkins outfits and looks always become, one day or another, the coolest. And this is exactly what we're going to talk about here. "SMACK MY KITSCH UP!"Dora Moutot.

@Copyright 2009-2011 Dora Moutot






YING YANG SHOES.

L'autre jour, j'ai été chez ma copine Hayley du blog Pump That Jam, elle a la chambre la plus cool du monde, des posters des Spice girls, Britney en 1999, Nicky Minaj et une couverture Ying Yang. J'ai surtout eu une crise cardiaque en regardant ses chaussures.

"Where the hell are these AMAZING SHOES from?" .

La réponse fut bien entendu de ce temple des vielleries appellé Ebay. La vendeuse Polina 444 a tout l'air d'avoir un stock de plateformes datant des années 90. Et ouvrez bien vos oreilles, la marque qu'elle propose est une marque oubliée qui s'appelle YING YANG Shoes (Si ça c'est pas un nom parfait!) qui viendrait d'Italie. Envie d'un look authentique 90, voir d'un style Larusso ou Baby Spice , c'est par ici. Dora.























JAMES.

Ce que j'aime bien faire, parfois, c'est de me promener d'amis en amis sur Facebook. Je prends un ami un peu excentrique à la base et je vais explorer son réseau. Je finis toujours par tomber sur des perles.

C'est comme ça que je suis tombée sur James Theseus Buck. Sa profil picture m'a arrété net. Je ne me suis pas trompée,celui ci fait des études de mode a la Central St Martins ou il se spécialise en print. Quand je lui ai demandé comment il décrirait son allure celui ci m'a répondu la phrase la plus cool du monde. "My style is hindu space alien at a hole concert." Culte. Ses designers favoris sont de toute logique quand on tente de décortiquer son esthétique. Aussi coloré que lui, on y retrouve l'indien excentrique Manish Arora, l'Anglaise Louise Gray et Le British Andrew Logan. James a tout l'air d'apprécier l'exotisme avec ses turbans et ses bindis, il confirme " I get inspiration from genies, shamans, Sylvester, glitter and sequins".

A défaut de pouvoir s'offrir ses designers favoris, celui ci fait son shopping a Camden, et dans des charity shops. A noté que sa caverne d' Ali Baba est ce magasin appelé House of Guadalupe à Camden. James est aussi et surtout un club kid. Si vous voulez voir des gamins surlookés, il vous suffit de vous rendre à la soirée the House of vogue Fabrics à Londres. Ses icônes de styles sont deux vielles dames, Mathilde Willink et Molly Parkin. James n'est pas très accès blogosphere, cependant il lit régulièrement What Courtney wore today et The world of princess Julia. Je lui ai aussi demandé ce qu'il voudrait voir dans la mode qu'il n'y a pas en ce moment. A ça, Il répond: "More people with a sense of humour, beaded kaftans and vodou priests". Et pour finir avec mon sujet de prédilection, je lui ai demandé ce que signifiait le mauvais gout pout lui. "Bad taste=good stuff" conclut il.












YOHJI TROLLS.

Rien de fou au niveau des vêtements chez Yohji Yamamoto, mais une coupe de cheveux à relever, réalisé par le hair stylist Eugene Souleiman, à base de laine.











VICE FASHION ISSUE.
The Cholombians.

Cette série de photo du Vice Fashion Issue 2011 est trop belle pour être vrai. Nous voici au nord du Mexique a Monterrey. Ici la culture colombienne s'est mélangé a la culture Mexicaine. Depuis les années 60, la population de Monterrey écoute et danse sur de la Colombia combia. On raconte que des immigrants auraient ramené leur cds et auraient séduits la population avec. Et comme chacun sait, la musique et le look vont toujours de pairs:

Every Sunday afternoon, after dancing all weekend at bars and clubs around town, a bunch of Mexican Colombianos gather outside the 7-Eleven at the bottom of the Latino Tower in downtown Monterrey. Taking their cues from LA’s cholos and some mythical ideal of tropical Colombia, they wear huge plaid and Hawaiian shirts over the baggiest Dickies you’ve ever seen. These are color-coordinated with their Converse and shoelaces whenever possible (one kid we met rotates four pairs of Chucks with seven different colors of laces) and then topped with a customized baseball cap worn just tight enough that it doesn’t cover their whole head but gingerly rests on their bangs. Every visible inch of hat space is cluttered with airbrushed or embroidered writing, including its wearer’s nickname, his girlfriend’s name, his clique’s name, the radio station he listens to, the neighborhood he’s from, etc.

Some Colombianos also wear religious-style icons called escapularios around their necks with images of San Judas Tadeo, the Virgin of Guadalupe, the increasingly popular Santa Muerte, and even Pancho Villa for protection. These started out similar to the ones monks wear but quickly evolved into giant homemade banners that can be used to broadcast information similar to the hats. Clique names such as Los Temelocos, La Dinastia de los Rapers, Foxmafia, and Latinaz are embroidered in huge letters across 12" x 12" pieces of fabric. One kid we saw had the number 10.90 embroidered in his escapulario. I asked him if it was a radio station he liked, and he told me that it was code for toluene, the chemical in paint thinner that gets you high.

These scapular signs are excellent, but the most important aspect of Colombiano fashion is
its signature haircut, which draws equal parts inspiration from American hip-hop, Puerto Rican reggaeton, and ancient depictions of Aztec warriors. The back is shaved, leaving a rat tail at the bottom. The top is kept short and spiky, with meticulously trimmed, Romulan-era emo bangs in front. Finally and most important, they grow long, Snoopy-like sideburns that start at the top of their heads and are glued to their cheeks with sickeningly large handfuls of hair gel. They call this Estilo Colombiano.

OU EST MON POT DE GEL? Dora.

Photos de Stefan Ruiz et texte de Bernado Loyola
Source: Viceland










101.

J'ai toujours bien aimé les 101 dalmatiens. C'est pas vraiment Cruella que je trouvais charismatique dans cette histoire, ça a toujours été le petit dalmatien bouboule mon favori.


Deux collections s'inspirent des 101 Dalmatiens. Tout d'abord la collection de Topshop Unique, avec ses manteaux qui rendent hommage à Cruella, et deuxièmement la collection de Jean Charles de Castelbajac, qui comme toujours utilise sa licence Disney , un des seul a nous proposer du Disney taille adulte et non pas enfant. J'ai moi même pondu une collection "Caniche, chihuahua et dalmatien" en sortant de l' école de stylisme, que vous pouvez voir ici.

"I'm hungry mother, I really am. I could eat a whole elephant." Dora.