Toujours dans mon actuelle nostalgie Londonienne, j'ai pensé à l'artiste Grayson Perry. Bizarrement, je ne sais pas pourquoi, je ne vous ai jamais parlé de lui, car celui ci ne pourrait pas être plus esprit "Gazette du mauvais gout". Grayson est un artiste qui fait de la céramique, avec des graphiques qui parlent de sadomasochisme, de pédophilie, de son enfance difficile, du mariage de sa propre personne avec son teddy bear et de trucs sain dans le genre. Celui ci à gagné le Turner Prize en 2003.
Mais à vrai dire, je ne suis pas très fan de son art, mais plutôt de sa façon de se vêtir. D'après moi, c'est la ou réside, sa véritable particularité. Notez que Grayson et un homme marié( à une psychologue. Voila qui est intéressant...), et a un enfant. Même avec ce baguage, celui ci continue de s'habiller en petite fille. Grayson partage son temps, entre Grayson-lui même et son alter-égo féminin, du nom de Claire, qu'il se charge de devenir de temps à autre. Il rejoint la tendance fétichiste d'infantilisation, des Adult- Baby/Diaper Lovers, sauf que celui ci élève son fétichisme au rang d'art. Car celui ci, ne met pas que des pyjamas roses bon marché et des couches pour papy incontinents.
Au contraire, Grayson est souvent au premier rang des défilés de la Central St Martins et du London College of Fashion, c'est un supporter de nouveaux talents, et sa garde robe de petite fille n'est faite que de pièces uniques. Pour l'avoir déjà croisé , dire que "He looks incredible", n'est vraiment pas de trop. Son look de petite fille est vraiment sophistiqué, et à chaque sortie, il porte une tenue différente. Soit, mais une question me chatouille: Mais ca fait quoi, d'avoir un papa comme ca? Dora.
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