Il y’a peu de blog que je lis. Je regarde les photos généralement. Je les vole. Puis je zappe. Pourtant je lis le blog d’un de mes « ennemis ». Je lis le blog de Rod, je lis Fluo Glacial. Et avec attention.
Ca fait pourtant plus de six mois qu’on ne s’adresse plus la parole-internet, on s’est virtuellement engueulé, il m’a énervé, je l’ai supprimé. Rod déteste ce que je revendique. Il déteste le milieu dans lequel j’évolue. Il déteste mon monde et chie ouvertement dessus. Bien qu’il tienne un blog, Rod déteste cette génération de « branchouille de l’internet », de Vice magazine, de fast-food de la mode, et de « communauté de l’instant » et revendiquerais plutôt la communauté de la durée. Détestant ouvertement les jeunes actuellement, il dégueule le monde des branchés, mais cultive pourtant une drôle de fascination et prend un malin plaisir à en parler. Contrairement à mon discours, qui est celui d’arrêter de rêver le passé, de célébrer et faire vivre les mouvements de notre époque au lieu de les rabaisser, Rob a une très grosse tendance à dénigrer le présent et à fantasmer l’underground du passé. Sa fascination et sa critique pourrait passer pour de l’envie, mais on comprend vite en lisant les articles du jeune homme, qu’on ne lis pas le simple blog d’un envieux, mais que celui-ci est plein de propos réfléchis. De la même façon que les sous cultures d’aujourd’hui me passionnent, qu’il qualifierait sans doute de mouvement sans fondement, Rod est un véritable passionné des sous cultures d’antan. Bien que j’aie souvent eu l’impression de m’adresser à une sorte de vieux rocker blasé, je me dois de reconnaitre que bien peu de jeunes gens ont son potentiel journalistique accompagné d’une culture aussi pointue des scènes underground passés. Ce « vieux jeune » , a le chic pour dénicher des films , cds et reportages incroyables, et en faire des revues qui réussiraient même a faire envie à la plus réticente des personnes « anti-vieilleries. »
De son oeuil anthropologue, son dernier reportage sur « le monde des branchés » (ici) est brillant,s’étend sur plusieurs articles et même si, en effet je me sens méchamment visée, la lecture vaut le détour. Et donne beaucoup à penser. Dora.
I'm sorry, i won't translate this article. This is all about a french blog, it's mainly articles on it and it's only in french. You will not be able to read it anyway. It sucks. Sorry again.
Ca fait pourtant plus de six mois qu’on ne s’adresse plus la parole-internet, on s’est virtuellement engueulé, il m’a énervé, je l’ai supprimé. Rod déteste ce que je revendique. Il déteste le milieu dans lequel j’évolue. Il déteste mon monde et chie ouvertement dessus. Bien qu’il tienne un blog, Rod déteste cette génération de « branchouille de l’internet », de Vice magazine, de fast-food de la mode, et de « communauté de l’instant » et revendiquerais plutôt la communauté de la durée. Détestant ouvertement les jeunes actuellement, il dégueule le monde des branchés, mais cultive pourtant une drôle de fascination et prend un malin plaisir à en parler. Contrairement à mon discours, qui est celui d’arrêter de rêver le passé, de célébrer et faire vivre les mouvements de notre époque au lieu de les rabaisser, Rob a une très grosse tendance à dénigrer le présent et à fantasmer l’underground du passé. Sa fascination et sa critique pourrait passer pour de l’envie, mais on comprend vite en lisant les articles du jeune homme, qu’on ne lis pas le simple blog d’un envieux, mais que celui-ci est plein de propos réfléchis. De la même façon que les sous cultures d’aujourd’hui me passionnent, qu’il qualifierait sans doute de mouvement sans fondement, Rod est un véritable passionné des sous cultures d’antan. Bien que j’aie souvent eu l’impression de m’adresser à une sorte de vieux rocker blasé, je me dois de reconnaitre que bien peu de jeunes gens ont son potentiel journalistique accompagné d’une culture aussi pointue des scènes underground passés. Ce « vieux jeune » , a le chic pour dénicher des films , cds et reportages incroyables, et en faire des revues qui réussiraient même a faire envie à la plus réticente des personnes « anti-vieilleries. »
De son oeuil anthropologue, son dernier reportage sur « le monde des branchés » (ici) est brillant,s’étend sur plusieurs articles et même si, en effet je me sens méchamment visée, la lecture vaut le détour. Et donne beaucoup à penser. Dora.
I'm sorry, i won't translate this article. This is all about a french blog, it's mainly articles on it and it's only in french. You will not be able to read it anyway. It sucks. Sorry again.