ROUKMOUTE.
Déjà, à la base, je trouve que les garçons roux, c'est souvent super mignon. Mais la grande nouvelle, c'est que je cautionne aussi complètement les faux roux. Merci Dansk magazine.
LONDON!
Parfois Londres me manque. L'esthétisme à New York est en comparaison à Londres, affreusement conservatrice. A Londres, j'avais le sentiment que mode rimait avec créativité. A New York, mode rime avec business and money. A New York, il s'agit d'être plus beau que son voisin. A Londres, il s'agit d'être plus fou que son voisin.
La collection de Katie Eary m'a fait chaud au coeur. On y retrouve le collier "Frankenstein"dont je vous ai parlé ( et dont vous pouvez trouver l'imitation cheap, version bague sur asos, ici ) et tout le kitsch et la folie du East London. Un coup de coeur, plus pour les accessoires, que les vêtements. Les oreilles de lapin, le sac à dos, et un "like" pour les top toiles d'araignée!
Toiles d'araignée, qu'on retrouve au niveau des genoux chez Ashish, accompagné du retour du kilt écolier, façon pouffiasse de Clueless ou Cruel Intention qui serait soudainement devenue la meilleure amie de la punkette de l'école.
Bien entendu, fan du mouvement New rave, fluo kid que j'ai été, je ne peux pas, ne pas vous parler de la dernière collection de Cari Munden pour Cassette Playa. Pas forcement fan de l' évolution de ses vêtements depuis sa fantastique première collection, j'ai plutôt été séduite par les couleurs de cheveux pétantes sur des mannequins métisse.
Une fois de plus, pas tout a fait convaincu par les vêtements, j'aime beaucoup les efforts autour des accessoires chez Louise Gray. Les ballons en guise de couvre-chef, relèvent complètement l'apparence de la collection, bien qu'ils soient éphémères.
Et pour finir dans ce que je considère la crème des designers "fun" de Londres, bien que la marque PPQ soit moins coloré que le reste des créateurs que je vous ai présenté ci dessus, et me rappelle légèrement la collection "inspiration sorcière" de Meadham Kirchhoff, un coup d'oeil pour les chapeaux façon catwoman, vaut bien le détour. London, I do miss you. Dora.
DE L'ESSENCE SUÉDOISE.
Un petit coup d'œil du coté de la Suède, avec les débuts de la designer Christina Wessen, toute juste sortie de l'école de mode Beckmans. Sa collection s'appelle "Iridescence" et s'inspire de ce phénomène que l'on peut apercevoir en regardant de l'essence ou une bulle de savon, ou selon la position, on se trouve face à un arc en ciel.
(Coïncidence, je suis justement tombée folle de joie ce week end, quand j'ai trouvé dans une brocante de la vaisselle en verre iridescent pour cinq malheureux dollars! C'est troooop beaaaauuuu!)
J'aime beaucoup l'idée de vêtement arc en ciel selon la lumière, et bien entendu, j'ai complètement craqué pour les talons vert transparent de sa collection. Un nom à suivre. Dora.
Un petit coup d'œil du coté de la Suède, avec les débuts de la designer Christina Wessen, toute juste sortie de l'école de mode Beckmans. Sa collection s'appelle "Iridescence" et s'inspire de ce phénomène que l'on peut apercevoir en regardant de l'essence ou une bulle de savon, ou selon la position, on se trouve face à un arc en ciel.
(Coïncidence, je suis justement tombée folle de joie ce week end, quand j'ai trouvé dans une brocante de la vaisselle en verre iridescent pour cinq malheureux dollars! C'est troooop beaaaauuuu!)
J'aime beaucoup l'idée de vêtement arc en ciel selon la lumière, et bien entendu, j'ai complètement craqué pour les talons vert transparent de sa collection. Un nom à suivre. Dora.
AUSSI BEAU
QU' UN BOL DE LUCKY CHARMS.
Pour mes lecteurs, plus fan de trucs weirdos, que de mode, je suis vraiment désolée. Généralement, je m'en fou pas mal des fashion-weeks, mais cette fois ci et, je suis la première étonnée, je suis vraiment très enthousiaste au sujet de certaines collections! Je trouve que ca sent les années 90, et le retour de Clueless à plein nez, avec des étincelles d'esthétique enfantine dedans, et ca, pardonnez moi, je ne peux guère y résister.
La collection de Missoni ressemble à une balade sur un arc en ciel couleur pastel. Il y'a un aspect très babydoll dans le choix des couleurs. Du rose bébé, du vert sirène et du bleu ciel, qui s'entrelacent, en dégradé. Sauf que chez Missoni, mademoiselle babydoll, aurait réussi à emporté ses couleurs favorites, tout en évoluant et en devenant une vraie femme. Et élégante en plus. Et croyez moi, ce n'était pas un défi facile à relever. Les pastels sont rarement utilisés de facon élégante, on tombe généralement très vite dans une esthetique Kawai Lolita, un aspect gamine, un peu cheap.
QU' UN BOL DE LUCKY CHARMS.
Pour mes lecteurs, plus fan de trucs weirdos, que de mode, je suis vraiment désolée. Généralement, je m'en fou pas mal des fashion-weeks, mais cette fois ci et, je suis la première étonnée, je suis vraiment très enthousiaste au sujet de certaines collections! Je trouve que ca sent les années 90, et le retour de Clueless à plein nez, avec des étincelles d'esthétique enfantine dedans, et ca, pardonnez moi, je ne peux guère y résister.
Si on regarde de plus près, on s'aperçoit aussi de l'utilisation du motif serpent, qui s'était fait la malle au début des années 2000, après s'être vendu par millions en pantalon Pinkie imitation serpent, tissu en plastique. Comme ca, si je vous dis, sans accès aux images " Du python et des pastels", ca risque de sonner de très mauvais gout, mais au contraire, Margherita Missoni a su en faire du très bon gout. Dora.
la collection complète ici.
la collection complète ici.
Inscription à :
Articles (Atom)
